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29
déc 2014

Le paradoxe des addictifs

a écrit dans:psychologie

 

 

On parle d’addiction lorsqu’il y a une dépendance.

L’alcoolisme, la toxicomanie, l’anorexie, la boulimie font partie des addictions classiques. Mais, on peut aussi y voir le jeu, le sexe,  les achats et aujourd’hui les réseaux sociaux, et tout ce qui passe par internet.

La trame psychologique et la structure de personnalité restent identiques quelque soit l’objet de l’addiction.

On dit que l’addiction est une pathologie paradoxale car, c’est un refus de dépendance à autrui et à la relation.

C’est une défense contre la dépendance affective.

La problématique est centrée sur les relations affectives qui sont vécues sur un mode anaclitique: à la fois dépendance vis à vis de l’objet et appui sur cet objet et, en même temps rejet de cette dépendance affective.

Ce qui entraîne bien souvent une manipulation agressive à l’autre.

Cette dépendance affective  fait excessivement peur à la personne addictive car, l’angoisse de fond est l’angoisse de perte d’objet d’amour et la dépression abandonnique.

L’addiction vient alors comme un écran protecteur qui maintient à distance toute dépendance ou intrusion d’autrui.

Cette structure de personnalité est marquée par une incomplétude narcissique, un non aboutissement de la période œdipienne.

La drogue, l’alcool ou autre donne à l’addictif la sensation qu’il n’a besoin de personne et surtout maintient à distance le fond mélancolique et dépressif.

La thérapie la plus appropriée reste la thérapie de groupe qui, grâce à la confrontation avec d’autres personnes dans le même cas permet un étayage.

Il est recommandé de l’accompagner d’une thérapie individuelle pour une meilleure réadaptation dans les relations.

Il peut également être prescrit une hospitalisation avec coupure d’avec la famille et l’environnement pendant un certain temps.

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9
avr 2013

Du pouvoir de la parole

a écrit dans:psychologie

 

 

« Par des paroles, un être humain peut en combler un autre de bonheur ou le pousser au désespoir. » Freud-Conférences d’introduction à la psychanalyse.

La puissance des mots va bien au-delà de ce qu’ils expriment au 1er degré.

Dire une parole c’est dire une pensée, pensée qui sera à l’origine des situations que nous vivrons.

Si moi ou quelqu’un prononce une parole négative à mon encontre: « je suis trop nul pour réussir », « tu n’y arriveras jamais »,  alors mon cerveau va créer des images reliées à ces paroles et, ces images vont devenir réalité alors qu’elles ne sont qu’un leurre, une croyance.

Mais, s’il s’agit d’une parole positive, le même scénario se met en place pour arriver à créer automatiquement un événement en rapport avec ces images positives.

C’est dire combien il est important de penser positif !!! Parler n’est pas un simple outil d’expression ou de communication, parler crée de l’événement.

La parole positive est productive car, elle imprime à notre cerveau des pensées qui vont produire des scenarii qui se transformeront en situations positives.

La réussite n’arrive pas par chance ou par hasard, mais parce qu’il y a sous-jacent des stratégies conscientes ou non qui se mettent en place.

La manière dont on se représente le monde va influer sur sur le cours de notre vie, à notre corps défendant.

Avec la parole on peut créer le meilleur comme le pire.

  »Pense bien et ce sera bien »

 

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